» Catégorie : Emotions Bis

Qu'y a t-il de plus important pour le fan que de partir en quête de ses idoles, celles pour qui il a dédié sa vie? Quel plus beau cadeau pouvions nous faire à nos lecteurs que de leur offrir leurs témoignages sur leurs années de gloire, leur vision de ce cinéma, ces stars d'un jour ou de toujours et leur regard parfois acerbe qu'ils portent sur leur carrière mais également toutes ces anecdotes dont nous sommes friands. Au fil des prochains mois, nous tenterons de vous offrir les interviews dont vous rêviez de ces comédiens et comédiennes d'hier et d'aujourd'hui, espace vivant plein d'amour et de dévotion pour toujours plus d'émotion.

Petits entretiens entre Salo N°1

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Promis depuis déjà de nombreux mois le Maniaco est fier de pouvoir enfin vous offrir en exclusivité le premier volet de nos entretiens avec quelques uns des jeunes acteurs d'un des films les plus controversés du cinéma italien, l'ultime oeuvre de Pasolini, Salo et les 120 journées de sodome. Les retrouver plus de 45 ans plus tard ne fut pas chose facile. Lorsque l'idée folle, ce rêve d'adolescent, de réussir à les dénicher germa il y a déjà de nombreuses années dans l'esprit du Maniaco, bien avant sa création, le pari était loin d'être gagné. Mais ne faut-il pas aller au bout de ses rêves dit-on? D'autant plus lorsque le pari concerne un des
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films si ce n'est le film le plus fort, le plus intelligent, visionnaire, que le cinéma italien nous ait jamais offert, reflet ultime de la décadence d'un cinéma transalpin aussi subversif que choc, source de tant de discussions, de sujets à débat mais également source de tous nos fantasmes les plus immoraux et d'extases interdites. Au fil des années, après déceptions, déboires et contretemps, le rêve a pu prendre forme et doucement se concrétiser pour enfin devenir une réalité bien réelle. De fil en aiguille le Maniaco a pu retrouver la majeure partie des jeunes acteurs de Salo, tous plus sympathiques les uns que les autres. Si certains refusent aujourd'hui catégoriquement de revenir sur leur passé pasolinien d'autres ont accepté volontiers voire avec plaisir de nous faire partager leurs lointains souvenirs.
salo 199.jpg, juil. 2021Ces précieux entretiens forment un merveilleux complément aux deux dossiers déjà consacrés au film, Les enfants de Salo: à visages découverts pour nous savoir sur la totalité de ces jeunes comédiens, et Les Maîtres de Salo: à visages démasqués, dossiers qui pour l'occasion ont été mis à jour et copieusement imagés de nouvelles illustrations. Ils ne formeront désormais plus qu'un seul bloc qui restera quelques mois en tête du site afin que vous puissiez, chers lecteurs, en profiter pleinement. Le premier volet de nos entretiens qui réunit Olga Andreis, Susanna Radaelli et Hélène Surgère, post-mortem, sera suivi dans les mois qui viennent d'autres belles interviews notamment celle de Ezio Manni et Umberto
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Chessari mais également d'autres comédiens dont nous tairons pour le moment le nom afin d'entretenir un brin de suspens. On peut en tout cas vous garantir, si tout se passe comme le souhaitons une énorme surprise pour tous les inconditionnels de l'univers pasolinien.
Ces petits entretiens entre Salo sont aussi un moyen de remercier nos fidèles lecteurs qui nous suivent et encouragent depuis déjà 11 ans. C'est en quelque sorte notre cadeau de fidélité, notre cadeau d'anniversaire pour nos 11 ans d'existence, n'ayant pu l'an passé, pour cause de pandémie fêter nos 10 ans. Le Maniaco ne faisant rien comme les autres c'est encore mieux.
Bonne lecture à tous et surtout merci de poursuivre l'aventure à nos cotés pour au moins encore... 11 ans!

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Marc Di Napoli: L'interview souvenir

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S'il est bien un nom qui caractérise les grandes épopées télévisuelles d'hier c'est bel et bien celui de Marc Di Napoli. Aujourd'hui encore son nom est associé aux excellentes Aventures de Tom Sawyer dans lequel il fut un remarquable Huckleberry Finn et bien entendu à celui de Doniphan dans l'inoubliable Deux ans de vacances. Des Galapiats en passant par Mauregard Marc est un incontournable de l'histoire du petit écran et compte aujourd'hui encore ses admirateurs par milliers. En plein succès Marc a pourtant fait le choix de se retirer du monde du spectacle pour se consacrer à un tout autre art, la peinture et la sculpture. Au début des années 80 il s'est installé à Concarneau en Bretagne où il a monté son propre atelier devenant au fil du temps un des plus grands noms dans ce domaine.
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Nous l'avons retrouvé chez lui où il a bien gentiment accepté de nous recevoir et c'est avec une joie non dissimulée que nous vous offrons cette interview de Monsieur MARC DI NAPOLI (dont la biographie est disponible ICI) réalisée au début de l'année 2004.
A l'instar du dossier DEUX ANS DE VACANCES dont elle constitue un magnifique bonus elle fut elle aussi publiée dans le défunt magazine Flashback TV, le N° du mois de mai 2004, avec l'aide précieuse de Messieurs C. Willaert et J. Ulvaos. En voici la version numérisée copieusement illustrée pour le plus grand plaisir espérons le des admirateurs de Marc.

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Rencontre avec Catriona Mc Coll

Pour la plupart d'entre nous, elle restera la douce et courageuse héroïne des films de Lucio Fulci dont elle fut l'égérie l'espace de trois films inoubliables: Frayeurs, L'au delà et La maison prés du cimetière. Ces films lui apportèrent non seulement la notoriété mais également la reconnaissance d'un public, fervent amateur de cinéma d'horreur sanguinolent typiquement italien.
Si elle a longtemps occulté cette partie de sa carrière, elle pris conscience au fil des années de l'impact qu'eurent ces oeuvres sur le public. C'est avec une grande justesse et surtout beaucoup d'humour qu'elle en parle aujourd'hui, un humour qui n'a d'égal que sa gentillesse et sa légendaire beauté.
C'est chez elle, tout prés d'Avignon, dans son havre de paix parfumé aux embruns marins, sous un soleil radieux, que Catriona Mc Coll nous reçut le 1er mai 2007 pour cette interview-vérité que nous avons le bonheur de vous offrir aujourd'hui. Avec ce sourire chaleureux et ce naturel qui la caractérise, Catriona est revenue non seulement sur cette période de sa vie mais aussi sur l'ensemble de sa carrière lors d'une inoubliable après-midi toute empreinte d'une si chaleureuse convivialité. Merci à toi Catriona.
Interview et reportage élégamment conduits par Stéphane Bouyer, digne représentant de nos confrères du Chat qui fume, Laurent Lopéré et votre humble guide et serviteur Francis Perrin / Eric Draven.