Maniaco Deprebis

Africa addio - Gualtiero Jacopetti et Franco Prosperi - 1966

Fera t-il aussi sombre que dans le cul d'un noir en 2018? Soyons optimistes et disons que non. Une occasion pour le Maniaco de vous souhaiter, chers lecteurs, ses MEILLEURS VOEUX pour cette nouvelle année. Les portes de notre antre s'ouvrent de nouveau après ces quelques vacances enneigées qui entre trois portions de foie gras, quelques chocolats et quatre bûches au beurre a permis de commencer l'illustration du dossier Mondo comme nous vous l'avions promis. Elle se continuera doucement au fil des semaines mais les amateurs du genre pourront d'ores et déjà se délecter des images parmi les plus impressionnantes que ces films nous ont offert. Un véritable régal de mauvais gout qui devrait donner la nausée aux plus faibles... un bon moyen de perdre ses kilos pris durant ces Fêtes! Le Maniaco pense à tout!
C'est en douceur que nous réouvrons donc nos portes et entamons 2018 avec un polar ignoré, l'ultime travail de Di Leo, avant de reprendre de la vitesse avec une incursion dans l'univers lycanthrope ibérique pour mieux plonger ensuite au coeur même du psychédélisme et ses chefs d'oeuvres perdus, un programme qui nous conduira vers la quintessence même du cinéma gay adolescent avec un véritable petit bijou du cinéma espagnol, de quoi non seulement nous émoustiller mais nous faire surtout perdre la tête et réchauffer nos âmes par ce froid hivernal. Sans pour autant dévoiler ses futures parutions le Maniaco vous promet de bien jolies et si malsaines lectures au fil des semaines et mois à venir. De quoi justifier le célèbre... "Bonne année"!